La course à pied en montagne pour les plus passionnés

La course en montage est une discipline sportive à part entière. Ouvrant la voie au plein air, elle séduit plusieurs amateurs et sportifs. Moins de 20 km de distance, un dénivelé élevé, des chemins stabilisés (souvent exclusivement de la montée) et des pentes de 5 à 8 % ; telles sont les règles de la course en montagne.

Au-delà de la randonnée

Pour un sportif, la randonnée est souvent la base d’un séjour en montagne. Monter, descendre et profiter pleinement de ses vacances sont une source d’épanouissement pour l’aventurier. Ce programme est idéal après une coupure estivale. Il permet de se tenir en pleine forme. Au-delà de son aspect primitif, la randonnée en montagne possède une version sportive. Ici, on ne parle ni de course ni de balade. Sur 10 à 15 km de distance, les amateurs peuvent envisager des montées et descentes à la manière d’un footing d’endurance. Sous une ambiance rythmée, les sportifs s’adonnent à un vrai cardio. L’activité est persistante dans les montées. Trouvez plus d’informations sur www.course-en-montagne.fr.

Un coureur qui passe ses vacances à la montagne ne pourrait sans doute pas rater son sport favori. Profiter d’une belle pente pour courir est un vrai must pour l’aventurier. Même exigeante, la discipline est agréable et gratifiante. Pour un montagnard, courir pour atteindre le sommet d’un sol est une sensation unique. Certes, la pratique nécessite des exigences physiques soutenues, mais procure un épanouissement indescriptible. Les montées raides et l’effet de l’altitude permettent de se tenir en pleine en forme. Les débutants peuvent se limiter à des valeurs acceptables en poursuivant le rythme par la marche.

Un entraînement de course en montagne

Que la course ait lieu sur un terrain plat ou en montagne, le sportif doit garder le rythme d’endurance pour la majorité du volume d’entraînement. Le coureur doit avoir une fréquence cardiaque tranquille. S’il souhaite participer à ce sport de montagne pour une saison à venir, l’aventurier doit retenir ses unités de course. Comme tout autre coureur, le sportif recherche à améliorer son énergie de base. La meilleure manière d’y parvenir est d’agir sur un terrain plat. Pour devenir plus rapide en montagne, le coureur doit rudement s’entraîner en plaine. Le mode d’entraînement est à spécifier individuellement selon les objectifs de chacun.

Avant de baigner dans la discipline, l’aventurier doit distinguer le trail qui affiche un dénivelé élevé. La pratique est aussi caractérisée par des descentes régulières de taille. Les courses en montagne incluant des passages en descente nécessitent de rudes entraînements en avance. Elles requièrent un réel travail de musculation afin d’éviter les lourdes courbatures. Plus facile à organiser, la course en montagne standard est une déclinaison de base de la discipline. Si le coureur souhaite participer à une compétition de marathon, il peut suivre des entraînements réguliers d’une à deux heures sur une montagne escarpée ou une colline. L’aventurier pourra alors rejoindre la cime la plus proche à vélo et courir jusqu’au sommet.

Les bénéfices de courir en montagne

La surcompensation est sans doute l'un des bienfaits de la course en montagne. À travers ce procédé, le sportif apprend à courir plus vite. Plus l'aventurier gagne en altitude, plus il fait diminuer la pression atmosphérique à l'inverse. La bonne bouffée d'oxygène imprégnée par le coureur (même réduite en hauteur) améliore ses conditions de vie. Il est donc important de bien choisir son équipement pour être à l'aise et en sécurité.

Un stage en altitude dure en moyenne 10 à 15 jours. Au moins deux semaines de congé doivent être accordées à la pratique selon le métier du pratiquant. Pour un sportif débutant, une semaine est déjà suffisante pour l’organisme. Celui-ci assurera malgré toute sa production normale de globules rouges. Selon le calendrier du sportif, le stage peut avoir lieu avant la course et se terminer juste avant la date prévue. En tout cas, les meilleures performances sont souvent liées à un échelon de retour à domicile compris entre 1 et 3 jours avant l’événement. Terminer le stage la veille de la course s’avère idéal pour se tenir prêt.

Se lancer au trail en montagne

Il est tout à fait possible de pratiquer le trail en montagne même sans expérience en running de ville. La discipline a plusieurs similitudes avec la randonnée. En montagne, l’aventurier apprend à marcher en montée afin de perdurer son endurance et profiter pleinement de la sensation ressentie. Ce détail fait la différence entre les coureurs en montagne et ceux des villes. L’avantage de courir en cime est de bénéficier de pistes forestières et de voies carrossables. Celles-ci permettent de se familiariser avec un terrain assez instable, ce qui permet de bien débuter tout en s’échauffant à merveille. Pour commencer le périple, évitez le sol trop caillouteux ou trop technique. Cette règle est importante pour ne pas brûler certaines étapes de la discipline. Aussi, privilégier un trajet en boucle court sans trop de dénivelés pour avoir une bonne approche. Notez que plusieurs stations labellisées proposent aux débutants des parcours balisés.

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